Il a choisi de leur tenir un langage de vérité. Omar Youm, pour ne pas le citer, aura profité de son voyage à Touba pour clarifier sa position sur cette pléthore de véhicules dits clandestins qui assurent une partie du transport public et qui causent énormément de scandales. Pour le ministre, cette situation devra cesser, n'en déplaisent aux syndicalistes du secteur et autres grogneurs.
"Le transport est un service public qui se fait suivant des normes clairement établies. C'est inadmissible que des véhicules dits clandestins se permettent de circuler sous les yeux des policiers, des gendarmes, des ministres, sans être inquiétés. Faites la grève, insultez mais je ne serai jamais d'accord pour que des véhicules de transport circulent sans agrément. Au Sénégal, rien n'est plus simple pour un citoyen disposant d'un véhicule de se voir attribuer un agrément. Nous avons marre de ce désordre. Cette situation va créer une insécurité, non seulement routière, mais publique. Comment peut-on laisser les clandos vaquer tranquillement à leurs occupations sans réagir. Il faut règlementer ce métier. Un véhicule dont nul ne connaît le propriétaire peut servir à n'importe quel scandale".
La mise au point assurée, Oumar Youm précisera que la régularisation de ces véhicules pourra se faire selon une procédure qui sera opérationnalisée à partir du 1er janvier 2021 et qui sera de rigueur jusqu'au mois de décembre 2021.
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement était dans la cité religieuse et dirigeait une rencontre avec les transporteurs dans le cadre du projet de modernisation des taxis collectifs pour le transport urbain de proximité. Il aura ainsi procédé à la remise de clefs de 150 vehicules 8 places de marque Chana, aux acteurs du transport de Touba...
"Le transport est un service public qui se fait suivant des normes clairement établies. C'est inadmissible que des véhicules dits clandestins se permettent de circuler sous les yeux des policiers, des gendarmes, des ministres, sans être inquiétés. Faites la grève, insultez mais je ne serai jamais d'accord pour que des véhicules de transport circulent sans agrément. Au Sénégal, rien n'est plus simple pour un citoyen disposant d'un véhicule de se voir attribuer un agrément. Nous avons marre de ce désordre. Cette situation va créer une insécurité, non seulement routière, mais publique. Comment peut-on laisser les clandos vaquer tranquillement à leurs occupations sans réagir. Il faut règlementer ce métier. Un véhicule dont nul ne connaît le propriétaire peut servir à n'importe quel scandale".
La mise au point assurée, Oumar Youm précisera que la régularisation de ces véhicules pourra se faire selon une procédure qui sera opérationnalisée à partir du 1er janvier 2021 et qui sera de rigueur jusqu'au mois de décembre 2021.
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement était dans la cité religieuse et dirigeait une rencontre avec les transporteurs dans le cadre du projet de modernisation des taxis collectifs pour le transport urbain de proximité. Il aura ainsi procédé à la remise de clefs de 150 vehicules 8 places de marque Chana, aux acteurs du transport de Touba...
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